Elle, rappelle-toi comme elle est belle
Et touche-la: elle sent le sel, c'est un don miraculeux
Elle, c'est la naissance de la gabelle
C'est l'oubliée des infidèles à la terre des futurs vieux
Rien que de l'eau, de l'eau de pluie, de l'eau de là-haut
Et le soleil blanc sur ta peau
Et la musique tombée du ciel sur les toits rouillés de Rio, oh oh
Toi, tu te caches dans les ruelles
Et comme un païen qui appelle les Dieux pour qu'elle t'inonde
Elle, oh tu sais elle a le temps
Elle est là depuis mille ans, elle te suit comme une ombre
Rien que de l'eau, de l'eau de pluie, de l'eau de là-haut
Et le soleil blanc sur ta peau
Et la musique tombée du ciel sur les toits rouillés de Rio, oh oh
Elle, en attendant l'orage
Elle te pardonnera ton âge et l'argent de tes cheveux
Elle, tu ne peux pas te passer d'elle
Tu ne vivras jamais sans elle, tu n'auras que de l'eau de tes yeux
Rien que de l'eau, de l'eau de pluie, de l'eau de là-haut
Et le soleil blanc sur ta peau
Et la musique tombée du ciel sur les toits rouillés de Rio, oh oh
Rien que de l'eau, de l'eau de pluie, de l'eau de là-haut
Et le soleil blanc sur ta peau
Et la musique tombée du ciel sur les toits rouillés de Rio, oh oh