A trop s'en vouloir on ne sait plus à quels déboires on avait crus pour qu'on se sépare de vue
Trop fiers pour se voir on a conclu malgré les arguments perdus que nos curs avaient disparu
Comme quoi il faudrait que l'on s'avise que les excuses se font exquises quand c'est le cur qui les tamise d'amour
Comme quoi il faudrait qu'on se le dise que cette envie qui nous attise nous rappelle nos terres promises
Faut-il vraiment croire ce temps déchu pour le savoir on s'est battu si bien que l'orage a tenu
Cette belle histoire qu'on a connue, je lui prépare une autre issue que cet acharnement déçu
Tu vois il faudrait que l'on s'avise que les excuses se font exquises quand c'est le cur qui les tamise d'amour
Tu vois il faudrait qu'on se le dise que cette envie qui nous attise nous rappelle nos terres promises
Viens par là qu'on se regarde
Sans la rancoeur en avant-garde
Sans ces erreurs qui nous lézardent
Car tu vois bien qu'il nous tarde qu'on se garde un avenir
A tant se vouloir on ne sait plus à quels déboires on avait crus pour qu'on se sépare de vue
Heureux de se voir on a conclu avec les armées disparues que nos curs étaient revenus
Tu vois il fallait que l'on s'avise que les excuses se font exquises quand c'est le cur qui les tamise d'amour
Tu vois il fallait qu'on se le dise que cette envie qui nous attise nous rappelle nos terres promises
Viens par là qu'on se regarde qu'on s'attarde avant de fuir
La rancoeur en avant-garde se hasarde à s'attendrir
Ces erreurs qui nous lézardent nous poignardent le sourire
Mais tu vois bien qu'il nous tarde qu'on se garde un avenir
(Merci à Till pour cettes paroles)